Je vous vous invite dans ce voyage au coeur des lumières dans "la source des sagesses" car je désire partager avec vous ma gratitude envers la source supreme qui me (nous) permet de réaliser que Tout est UN.
Pendant, des années je me suis contenté de lire, d'écouter et d'étudier les messages des personnes autour de moi qui en fait m'était forcément destiné. Or aujourd'hui, je veux partager et c'est désir de partager que les kabbaliste appele Lumière car en partageant, nous participons à la création.
"Qui regarde à l'extérieur reve, qui regarde à l'intérieur s'éveille" Carl Gustuv Jung
Je vous met en ligne donc une de mes interventions faites le 15/04/2010
Itinéraires
Sprituels
Animé
par Khaled Roumo et Gabriel Hagai
Intervenants
Abdelhafid Elattar et Laurent Journo
Espace
le scribe l’harmattan 19, rue Frédéric Sauton 75005 Paris
Voilà,
tout d’abord, j’aimerais vous dire que cette exercice est très
difficile pour moi car c’est la première fois que je m’exprime à
titre personnel pour vous faire part de « mon cheminement vers
la lumière ».
N’étant
donc pas, un orateur, veuillez m’excuser, si je décide de vous
faire, la simple lecture de mon récit.
En
fait, aujourd’hui avec un recul nécessaire, je pense que cette
habitude que j’ai prise d’éviter de prendre la parole, vient
d’une part d’une petite timidité, mais aussi d’une certaine
complaisance que j’éprouve en restant dans ce silence, puissant
allié, car il produisait l’effet de m’attirer le respect. Une
force tranquille qui alimentait Un respect mutuel de moi et de
l’autre.
L‘autre
aspect, du refus de m’exprimer, c‘est l‘immense complexité que
j’ai pour faire ressentir mes sentiments par des mots. En effet,
j’ai la fâcheuse impression que ces mots figent, limitent mes
perceptions car elles sont souvent aussi mêler à des intuitions,
qui me sont propres et d’où, il est alors très difficile d‘en
manifester les différentes facettes.
De
même, les idées ou les opinions contraires me semblent souvent vrai
alors le plus souvent, j’essaie de rester en harmonie avec ces 2
tendances , c’est ce qu’on appellerais la voie du milieu qui
n’est pas la plus aisée, mais pourtant c’est celle qui me
correspond le mieux.
En
fait, je pense que ma propre nature ne supporte pas les décisions
tranchées qui amènent aux conflits, aux séparations.
1/Enfance:
Je
suis issu d’une famille juive traditionaliste, d’origine
tunisienne ou les rites religieux et coutumes locales se confondent
parfois, on perpétue ces actes parce que mes parents, grands-parents
et arrière grands-parents les ont pratiqués et n’avons donc du
moins, dans un 1°temps, pas d’autres choix que de les reproduire
automatiquement par respect de nos ancêtres.
Mais,
il faut bien que je vous dise qu’à l’adolescence tout ceci me
donné l’impression d’une image pauvre et figée de notre
religion, en fait moi, mes frères et mes parents semblaient être
des enfants qui n’avaient jamais grandis.
Toute
notre vie, nous devions faire ou ne pas faire, dans le seule but de
faire plaisir à notre créateur.
Alors
déjà assez jeune des questions me poursuivaient sans osez en
parler, pourquoi remettre en question des actes qui sont fait depuis
des générations, c‘était certainement un manque de foi!
Je
devais prendre peut être un peu plus de temps pour les assimiler.
Mais,
mes frères, ma famille, mes amis ne semblent pas être perturber
par cet état?
Que
m’arrive-t-il?
Autant
que, je me souvienne, pour ma part, je me suis toujours sentis en
décalage dans leurs préoccupations quotidiennes de la vie courante.
Or même si nous aimions les mêmes genres de lectures ou de films ,
je sentais que ma façon d’interpréter, d’appréhender les
choses n’étais pas la même, car pour moi tout n’était pas
aussi simpliste que l’on veut nous faire croire, tous les
événements même minimes qui se déroulaient autour de moi avaient
un but, il me fallait trouver le message que l’on voulait me faire
passer, sans s’attarder sur le messager.
En
fait , je pense que j’entrevoyais d’autres degrés de
compréhension qui m’amenaient à des questions qui m’amenaient
encore et encore à d’autres questions. J’appréhendais
l’infinie, mais il m’échappait aussi sans cesse. Il y avait qq.
choses de plus profond à découvrir, à rechercher cette vision un
peu plus globale avec leurs tenants et aboutissants. .
Mais
pourquoi toutes ces questions??
Est-ce
que je ne fréquentais pas les bonnes personnes?
Mon
environnement n’était il peut être pas, bénéfique pour moi? Ou
peut etre est il tout simplement un chance car cette prise de
conscience me servirait de tremplin pour chercher, ailleurs?
2/Commencement
de ma vie religieuse et impasse et limite:
Apparemment,
il fallait que je me résolve à trouver quel était ce grand
mystère qui m’animer .
Donc
après mon entrée dans la vie professionnel , je décidé de
m’intéresser un peu plus à ma propre religion car en pratiquant
plus, je découvrirais le sens des actions que je rentrerais dans
leurs intériorités, mais cette fois-ci, avec des personnes qui
comprennent et savent de quoi l’on parle ce serait alors plus
facile et tout deviendrait plus clair.
Ainsi
je commençais à naviguer entre les différentes synagogues,
conférences et petit cours de groupe,… J’étais religieux même
si mon engagement ne fut jamais totale, car je voulais toujours avoir
la possibilité de changer de direction.
Néanmoins,
cette période m’aida à être moins ignorant et me mis au contact
avec d’autres personnes de qualités qui par leur conduite me
servirent d’exemples pour faire un travail sur moi même.
L’étude
de la pratique religieuse se déroula sur qq. années car je me
persuadé que j’étais forcément dans le vrai et bon chemin, qu’il
fallait nécessairement passé par ces étapes, c’est à dire, l’
étude et la pratique rigoureuse, puis viendrait le temps de la
véritable compréhension de ces commandements et peut être encore
plus.
Mais
j’ai toujours eu tendance à vouloir brûler les étapes, l’immense
temps que je devrais effectuer pour me consacrer à ces études
techniques ne pouvait être réaliser, vous me dirait que mon désir
n’était peut être pas assez grand, car tout dépend de volonté,
c’est peut être vrai. De toutes les manières, ces bonnes
personnes qui avaient eut le courage de s’engager dans cette vie
d’étude, finalement ne m’avaient pas convaincu car le
pourcentage qui s’intéressaient à ce qui avait dans l’intériorité
n’étaient peut être que légèrement supérieur à ceux qui
étaient tout simplement traditionaliste.
Ceci
me fait penser à une petite histoire raconté par Daniel Souffir
dans « l’abc de la kabbale » :
Imaginons
un savant projeté dans le 12°siècles période ou il n’a plus
aucun moyen de revenir dans son époque, il accepte donc ce défi
extraordinaire et se propose d’améliorer le quotidien de ses
semblables, tout en ménageant la méfiance des autorités en place.
On
reconnaît ses compétences et son utilité est l’on le surnom:
l’homme qui sait
Après
avoir fondé une nouvelle famille, créé des cercles d’études, il
s’éteins qq. Années plus tard.
Malgré
sa disparition son enseignement fut suivi pendant des décennies,
ainsi quand le travail devenait harassant, les cœurs vides, l’envi
de fuir le quotidien, on faisait alors appel à des prêtres initiés
du cercle de l’homme qui sait.
Ces
prêtres étaient les fils des fils et des fils de ceux qui
fréquentait le savant.
En fait en fin de semaine les
initiés menaient un rituel infaillible, le regard dirigé
vers le sud vers une pancarte ou l’on pouvait lire « autoroute
du sud » , les habitants s’asseyaient sur une chaise en
tenant devant eux un petit pendentif ou l’on pouvait lire une
gravure FERRARI
Nul
ne connaissaient le secret des lettres mais chaque personne devaient
la tournait et la retourner en prononçant vroum-vroum et de tant en
temps l’officiant leurs faisait répétaient brrr-brrr .
J’ai
raccourci l’histoire, mais bien des actes religieux de toutes
obédience confondus ne sont plus relié, que par des aspects
extérieurs. Les vraies raisons de chaque gestes, chaque actions ont
été totalement perdus ou occultées. Et nous ressemblons donc pour
la plupart d’entre nous à un groupe faisant Vroum sur une chaise
immobile sans connaitre le pourquoi des actions.
Les
gestes avaient un but. Il devait nous aider à atteindre une
destination choisie, visité un ailleurs, rencontrer d’autres gens
dans le but de recevoir et donner, d’assumer l’échange avec le
créateur de notre monde.
Chaque
religion possède bien sur, son propre niveau de lecture, mais
celles-ci ne sont qu’un support de la véritable intention. Tous
les rituels et symboliques, vidés de leurs essences profondes, ne
sont que des prisons étroites, sombres et limités.
Les
textes religieux ont été écrits en fonction d’un sens spirituel,
et non l’inverse.
Les
textes ne sont que l’écorce qui protège la coquille, et c’est
pour cela que je décidais de choisir le fruit.
Un
grand sage hindou a dit: « c’est un grand bonheur de
naître dans une religion, mais c’est un grand malheur que d’y
mourir ».
Le
message que je commençais à percevoir, fut que la religion n’est
pas un but spirituel , mais simplement un moyen d’atteindre notre
but, et de ne surtout pas confondre le moyen avec le but
même ci pendant qq. Années, je me persuadais encore du
contraire, en remettant cela, sur mon problème de foi.
Pourtant
au plus profond de moi, je sentais que cette présence supérieure ne
correspondait pas au description que j’entendais ici et là.
La
pratique exclusive dans les lieux de prière avec l’études de
textes, de commentaires qui souvent s’adressait à différents
oratoires ne pouvait donc m’aider. Par ailleurs, utiliser son
savoir pour bâtir des murs au lieu de franchir les obstacles n’est
pas non plus ce que je recherchais. Ceci me fait penser à la faute
des explorateurs dans la bible qui ne voulaient pas rentrer en terre
sainte pas seulement par peur, mais aussi car ils étaient bien entre
eux, ils étudiaient, rien ne pouvaient les perturber, alors pourquoi
affronter d’autres civilisations et des remises en question?
Les
actions que je réalisais, ne pouvais pas s’accomplir
pour attendre une récompense dans ce monde ou dans le monde à
venir, vouloir toujours recevoir, nature qui semble être de plus en
plus croissante dans nos sociétés. Non, aucun calcul de mon moi
pour en tirer une satisfaction personnel, pas de prêter pour un
rendu.
Mais
alors l’acte de donner la charité par exemple «la tsedaka »,
gestuel aussi dogmatique, n’est plus simplement une bonne action,
une action de justice, une action qui nous protège. Non, Nous la
pratiquons pour que notre cœur entrevoit notre association à D car
dans ce cas nous acquérons les mêmes attributs que LUI, nous sommes
sont associé, nous donnons sans compter.
J’agis
parce que je le désire et ce désir est le Désir de UN.
Les
religions qui nous assomment d’ obligations et de contraintes dans
le but de faire plaisir à D. ne conduisent qu’à l’illusion du
bonheur,… d’être proche du seigneur, …
Qu’a
dit D. à Abraham « va pour toi, vers toi même… » et
non « viens vers moi… ».
3/
Questions existentielles, l’appel d’en haut:
Je
tombe alors un jour sur des écrits de Kabbaliste notamment des textes sur internet qui décrivait parfaitement le processus
par lequel j’étais passé, il dit en 2 mots:
« l’homme
a des attributs est très éloigné du créateur (de part sa
matérialité et par le fait qu’il ne fait que recevoir) du moins
au début de son chemin.
Or
pour accroître le désir spirituel le créateur lui envoi des
circonstances qui induisent en lui une sensation d’inutilité, de
vide de doutes quant à poursuivre les buts éphémères qui
constitue le but de sa vie.
L’homme
se met alors à la recherche de valeurs vraies qui donneraient un
sens à sa vie.
Ensuite,
l’homme prend conscience que ces valeurs se trouvent dans la
religion parce qu’elle parle de ce qui n’est pas éphémère
comme notre vie terrestre mais aussi de ce qui est éternel.
Parmi
ceux dont l’intérêt s’est éveillé certains se contentent de
l’étude ou de pratique de rites religieux, se limitent à des
attribut extérieurs comme les vêtements, les chants religieux,
l’observation plus rigoureuse dans le but de donner un sens à leur
vie.
D’autres
personnes qui prennent conscience de toutes ces choses de la vie,
passe à une autre stade. Mais alors nous rentrons dans la vrai
spiritualité mais à un degré plus élevé ou le voile des
souffrances internes devrait être lever.
(L’homme
ne comprend et ne reçoit que ce qui pénètre à l’intérieur
limité par nos 5 sens. Sommes nous alors capable d’imaginé ce qui
manque à nos sens, quel sens nous serait utile pour percevoir la
véritable réalité qui nous entoure, car comme pour la plupart,
nous ne ressentons pas ce manque, tout comme nous ne ressentons pas
le manque d’un 6° doigt.)
Mais
ce qui m’intrigua le plus, c’est que ce Rabbin commentant des
secrets d’une tradition kabbalistique s’adressait aussi bien aux
religieux, qu’aux non religieux, femmes et non juifs.
En
effet, j’avais toujours entendu que l’on ne pouvait étudier
cette science qu’après avoir passer un certain cursus.
Qu‘elle
était alors cette étrange dilemme?
Pourquoi
ces secrets doivent-ils rester caché ?
Je
continuais pourtant encore à me émettre des doutes, je devenais
peut être un hérétique?
N’était
ce pas encore une de ces sectes, Qui prêche l’universalisme?
A
cette époque, il me fallut combattre mes doutes est au lieu de
m’abstenir d’agir comme la plupart d’entre nous en cas de
doute, je suivis le conseil d’autres sages qui préfèrent agir et
se tromper, car il vaut mieux franchir l‘obstacle car celle-ci est
une barrière nécessaire à l‘évolution. Le doute entraîne la
peur, la peur de l’avenir qui anesthésie la volonté et finalement
notre action dans la création.
Il
fallait donc que je passe à l’action que je me transforme et
m‘élève.
A
cette époque, la notion de D. est UN me pénétra un peu plus
Le
D à la fois grand et petit, à fois infini et fini, mais aussi ni
infini, ni fini concept difficile à comprendre dans notre monde
dualiste, car lui donner un qualificatif c’est le limité.
D.
n’était plus UN tout simplement parce qu’il n’est pas ni 2, ni
3, …
Non
il est UN parce qu’il rien d’autre que lui.
Il
n‘y a pas LUI et Moi.
LUI,
MOI, tous ceux qui existent ou n’existe pas, ne font qu’UN..
4/
Découverte de qq. Ouvrages
Alors
que je continuais de vivre une vie somme toute normal au commun des
mortels marié avec à l’époque avec 1 enfant (plus tard 3
suivirent)
Un
jour alors que je flânais dans une bibliothèque, je fis la
découverte d’un livre de arieh kaplan « Méditation Juive »
intrigué que cela puisse existé aussi dans ma tradition, je fus
agréablement surpris et il fut qq. temps mon livre de chevet. je
n’utilisé pas encore ces pratiques par un manque de rigueur, mais
j’avais l’intime conviction que c’était un outil formidable
pour atteindre le but temps recherché.
Il
fallait que j’en sache un peu plus sur ces sciences mystiques,
cette vérité primordiale qui avait été perdu et garder par qq.
Élites, ou certains rabbins nous disaient d’attendre 40ans, mais
avaient-ils oubliés de dire ou simplement par méconnaissance que
souvent les kabbalistes comme les soufis avaient été aussi très
contreversé dans leurs propres religions pour être ensuite
intégrée.
Je
découvrir alors que la cabbale n’est pas seulement une science
pratique avec sa numérologie, guérisseurs ou faiseur d’amulettes
qui le plus souvent intéressent les franges populaires, mais elle
est infiniment plus grande.
A
cette époque, mes prières reprirent avec beaucoup de ferveurs et je
me souvins que mes demandes les plus insistantes était que je puisse
trouver un guide, un maître, un ami.
5/
Contact avec Gabriel
Qq.
mois plus tard, je fis la connaissance de Gabriel dans un club de
vacance , de manière très succincte mais suffisamment pour
ressentir qu’il avait qq. choses de particulier.
Rentrant
à Paris, je décidé donc de reprendre contact avec la seule
personne avec qui je pouvais parler librement de sujets aussi divers
que profonds.
Nous
nous sommes vues alors pendant qq. mois régulièrement, là ou il
m’a initié à qq. techniques méditative, mais le plus important
fut son écoute sur les différents thèmes que nous abordions car il
savait se mettre à mon degré de compréhension et me glisser
subtilement d’autres voies dans mes questionnements.
Cette
fois, la peur d’être pris pour un hérétique n’était plus
d’actualité
Suivre
l’enseignement d’un sage , ce n’est pas simplement vouloir être
comme lui, en limitant. Mais il faut chercher ce qu’il a cherché.
Notre raison d’être sur cette terre, c’est de réaliser notre
potentiel.
J’entrepris
alors de lire d’autres écrits de sagesse qu’on qualifierait de
profane, mais celles-ci m’ouvrirent de nouveaux horizons, car les
sagesses cachées se recoupées, il y avait bien une sagesse
primordiale.
6/
Les lectures, l’ouverture vers d’autres horizons
Bénissons
l’époque ou nous vivons car les sagesses de plusieurs traditions
sont devenues abordable à tous ceux qui la cherchent vraiment, avec
toutes les profusions de livres, de traductions, de commentaires que
l’on trouve notamment sur internet, choses encore très difficile
il y a encore qq. Années..
A
la lecture de plusieurs ouvrages de cette science mystique, je
trouvais pour la 1° fois de ma vie des mots qui me parlaient, des
mots qui entraient directement dans mon cœur au plus profond de mon
être. En fait, il y avait donc 2 religions en chaque religion, le
prêt à croire, le prêt-à-porter de la pensée religieuse, et le
niveau mystique. Autrement dit, la religion du rabbin ou de l’imam,
la religion qui répond mal à ma question et, qui, si tu n’arrives
pas y croire, te culpabilise, et la religion qui interroge ta
question, te demande donc de chercher encore et encore.
L‘essentiel
étais donc de penser, de chercher ces propres questions et essayer
de trouver plusieurs réponses de préférences pour les relier dans
ma tradition , quelle perspective infinie.
Plus
de confusion, de crainte à lire les secrets d‘autres traditions
car tout est UN.
Dans
le Zohar je crois que l’on dit « il a suffit que l’AME
de l’âme ait une fois le désir d’être pour que la terre et les
hommes apparaissent… »
En
fait, il n’y a pas de séparation.
L’oubli
que tout est UN, produit l’illusion de la séparation, et c’est
alors que commence l’égarement.
7/Unification,
Conclusion
Enfin,
les textes ne peuvent se résumer à ce qui est bien ou mal ou tout
simplement l‘autre coté.
Même
si il est vrai que je vis dans un monde de dualité, tiraillé par 2
forces qui s’opposent (comme dans "star war") que ce soit au niveau
particulier ou communautaire.
Je
dirais pour ma part qu’il est bon de connaître tous les aspects,
mais surtout en veillant à bien rester dans la voie du milieu, pas
d’athéisme, ni d‘extrémisme.
Car
dans ce monde de réel et d’irréel , la réalité est mouvante, il
faut que j’essaye de relativiser les évènements de la vie qui
m’entourent. Je prendrais comme l’exemple d’une rivière, qui
représente en général une source d’irrigations est donc de
bénédictions…, l’autre aspect c’est qu’elle peut être un
obstacle, un danger, elle devient destructrice si l’on ne lui fixe
pas de limite.
La
religion est indispensable pour une grande partie d’entre-nous car
elle entretient le lien avec le créateur et permet de fixer des
limites indispensables dans ce monde matériel et c‘est certainement
bien comme çà.
Je
suis encore loin de mon unification, peut être que mon désir n’est
pas encore entier car je passe par des périodes de plénitude
heureuse ou de souffrance et doute. Ces moments de souffrance qui ne
sont que l’illusion de la séparation, alors que normalement quelle
différence y a t-il entre D et moi, nous sommes UN.
Peut
il manger, boire? Vivre aussi mes expériences?
Dans
ce monde de l’action, je suis son
associé, ou mon corps fini permet d’effectuer
toutes ces actions, mais aussi de lui renvoyer une lumière d'Amour en partageant avec mes frères humains et éviter "le pain de la honte" (recevoir de la lumière dans pouvoir la donner).
(cela
me fait penser à un livre profane « Conversation avec D »
de Neale Donald Walsch) .
Il
n’y a pas plus tard que cette semaine mon fils de 4ans m’a
demande: « Papa Pourquoi ne peut on pas parler à D.? pourquoi
est -il très haut? »
J ai alors réaliser que j étais là
pour lui dire et lui faire comprendre qu il était la haut mais
existé aussi tout en bas, dans un tout petit point, dans son
cœur.
(C est l infini petit, )
Et alors j ai immédiatement
pensé que d’être venu dans ce monde, rien que pour avoir
aidé
ou remis en chemin un être était une chose merveilleuse, à cette
idée un réel sentiment de joie m’envahit, mon corps entier
frissonna, c’était l'extase. Malheureusement, celle-ci disparu
aussitôt que mon doute refit surface.
Tout cela me fit alors,
prendre conscience, le chemin qu il me reste encore à parcourir,
mais ce n’est pas grave car ce doute me sert aussi d'expérience, car
je suis comme dans le cas d' une personne qui tire bien sur la corde avant
de se jeter dans le vide car il veut être sur qu’elle tiendra.
Enfin,
je ne désespère pas et je finirais par un commentaire d’un
passage de la bible qui m’a été révèle, il y a qq. années:
« Devant
le buisson ardent qui ne se consume pas, Moise demande à l’Éternel,
son Nom »
Lorsque
l’on prend leur nom,
Moise
(moche), le Tétragramme (Hachem), c’est en fait, les 3 mêmes
lettres inversées, le même nom à l’envers.
Donc
Le nom inverse donc demande au nom à l’endroit son nom, il ne lui
répond pas, puis lui dit:
« Je
serais celui qui serais», en fait, il lui indique 2 noms identiques
séparés « qui, quand »
Le
désir éternel d’être (je serais), l’envoi vers lui-même dont
il est sa manifestation.
Quand
je m’interroge alors je convoque mon avenir, l‘inaccompli.
Laurent
Journo
Le
15/04/2010
Voici qq actions pratiques:
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